http://de.wikipedia.org/wiki/Gundi_Feyrer
GUNDI FEYRER TEXTES FRANçAIS `PART 2
Toujours j’ai aimé la solitude, c’était la liberté du démon de mon enfance:
Eux, ils l’ont laissée en blanc, tous, et eux, ils l’ont affranchie et encombrée,
là-dedans, dans le petit trou noir d’à peu près trois mètres carrés, là-haut, sur le pinacle de mon sommeil.
Espace aimé, j’ai toujours aimé la chasse de fatras.
Toute une solitude, c’est toute une liberté avec des routes des fleurs, rassasiées de nuages tropiques. Et jamais seule, mais accompagnée par la jouissance d’une mère, de la belle et de la blanche, qui s’enroule dans sa propre et grande surface, qui absorbe la lumière, sans yeux. Elle, la mère, elle, la belle et la blanche est heureuse comme vigie, en possesion de la clé avec laquelle elle entoure mon aveuglement de sa clôture.
Donnant sens à la nuit elle cría: “Je ne vais pas ouvrir cette porte jusqu’à ce que toi, démon du bois de l’enfance, ne t’es pas repentie de ta fôret!”
J’étais infiniment heureuse. Dans un jardin des bénéfices qui gaspillaient ma solitude et qui agrandissaient mon existence diffusante, partout. Partout, dans l’univers d’un trou dégoutant, qui m’enseignait le lieu où je me trouva. Je regardais les formes réelles de la liberté qui étaient les miennes et qui m’entouraient. La mère, la belle et la blanche, donna des règles, pendant qu’elle m’entoura du plaisir de me trouver dans l’obscurité.
Paradis des volumes aveugles.
J’étais invisible et voyais tout. Ma peau se délassa. La clé absente et en même temps présente, dans la poche de la blouse blanche de la mère, se fonda, convertiant l’idée de son métal en un éspace brillant, fait de son propre absence: amande qui repousse la lumière.
Ma peau se délassa une autre fois. De tant de lumière derrière mes yeux, provoquée de cette obscurité, de tant d’oiseaux derrière le toit, provoqué de mon emprisonnement et de tant contact, provoqué de ma solitude, je me senti obligée de trembler le bonheur.
Blouses blanches et manteaux nègres en manière de velours:
Ma liberté se déplia comme l’aveuglement autour de moi et s’enroula autour de la bobine de mon existence éclatante: j’étais òu j’étais et j’étais partout, parce que ma nuit ne sentit aucune limite. Elle baissa pavillon et rampa sous la porte pour s’augmenter. Moi, je voyais ça avec beaucoup d’intérêt. Sans cesse.
D’un coup le ciel sembla de s’être éclairci. Le soleil s’éscapa de son grand oeil invisible et se laissa tomber par des rainures.
Devant moi: une pluie criante et pleine des yeux. La nuit était entourée d’une clôture, dans laquelle l’humeur aqueuse du soleil goutta. Sans parasol et avec un parapluie, qui s’appuyait contre le mur, rejetant la farine de la poussière, jaillissante avec des vermines, auxquelles les araignées souhaitaient leur bienvenue. Ça, ça se passe toujours la première fois.
D’ailleurs: le toujours, c’est toujours la première fois quand il se passe.
La suite: La solitude et la liberté avaient accepté le visage de la première fois. Il me ria au nez. Le visage de la première fois. Ça, c’était la première fois que c’était toujours la première fois. Tous les jours s’approprient de tous les visages avec lesquelles ils te regardent comme de première vue.
Routes neuves, fleurs fraîches, amandes, noyaux amères.
Les arbres, là, au dehors, se répètent de la même manière en absorbant l’obscurité, l’encombrant dans leurs visages, qui, aussi, sont toujours faites de première vue. Du reste, ils la conservent. Chaque arbre, petit trou noir d’à peu près trois mètres carrés, retrouve la solitude en lui offrant ses limites. J’adore leurs augmentations.
Blouses bleues et manteaux blancs en manière de plâtre:
Le plâtre déserta les mûrs et sauta aux manteaux qui dansaient dans l’aveuglement de mes yeux. Grace à la pluie des yeux solaires, qui se dispersaient devant moi, je reçevais un autre oeil, ou peut-être deux et je les pris dans mes mains: les blouse-tabliers blanches, les tablier-blouses noires de mes parents.
Finalment j’arrivais au concret:
Au dehors de la porte fermé, la mère belle, la blanche, elle était révoltante et crialliait sa force au vent, déséspérée d’une volonté sans limite et en prison:
Elle était obsessionnée d’ouvrir les portes qu’elle avait joui de fermer.
Mais moi, j’aime des protes fermées, entourées d’espaces qui s’augmentent sans cesse et dans toutes les directions sans limites. Jamais je sortirai de cette solitude solaire dans laquelle la nuit me sauve.
Je n’ai pas besoin de plus d’à peu près trois mètres carrés et jamais je ne vais sortir.
Tout brille, tout est fleur, mousse et très léger. Il ne faut plus rien faire qu’on ne voit pas en fleur. La mère belle et la blanche se répètent chaque jour et toujours, c’est la première fois que tout est en fleur.
Il y a deux menaces qui restent: sortir de sa liberté solaire, extrader l’obscurité, le pour-la-première-fois, en la remettant aux mains des vigilants et s’en aller avec des mains qui soient capables de voir chaque première fois.
Toujours:
Elle, la mère belle et blanche, s’enroulant dans ses cheveux, arrondie par des vagues de sa force et menacée par le démon de l’enfance. Non, elle ne le sait pas. Elle ne sait pas qu’elle ne cessera jamais de faire des cadeaux. Toujours, et sous les jours.
Toujours j’ai aimé la solitude, c’était la liberté du démon de mon enfance:
Eux, ils l’ont laissée en blanc, tous, et eux, ils l’ont affranchie et encombrée,
là-dedans, dans le petit trou noir d’à peu près trois mètres carrés, là-haut, sur le pinacle de mon sommeil.
Espace aimé, j’ai toujours aimé la chasse de fatras.
Toute une solitude, c’est toute une liberté avec des routes des fleurs, rassasiées de nuages tropiques. Et jamais seule, mais accompagnée par la jouissance d’une mère, de la belle et de la blanche, qui s’enroule dans sa propre et grande surface, qui absorbe la lumière, sans yeux. Elle, la mère, elle, la belle et la blanche est heureuse comme vigie, en possesion de la clé avec laquelle elle entoure mon aveuglement de sa clôture.
Donnant sens à la nuit elle cría: “Je ne vais pas ouvrir cette porte jusqu’à ce que toi, démon du bois de l’enfance, ne t’es pas repentie de ta fôret!”
J’étais infiniment heureuse. Dans un jardin des bénéfices qui gaspillaient ma solitude et qui agrandissaient mon existence diffusante, partout. Partout, dans l’univers d’un trou dégoutant, qui m’enseignait le lieu où je me trouva. Je regardais les formes réelles de la liberté qui étaient les miennes et qui m’entouraient. La mère, la belle et la blanche, donna des règles, pendant qu’elle m’entoura du plaisir de me trouver dans l’obscurité.
Paradis des volumes aveugles.
J’étais invisible et voyais tout. Ma peau se délassa. La clé absente et en même temps présente, dans la poche de la blouse blanche de la mère, se fonda, convertiant l’idée de son métal en un éspace brillant, fait de son propre absence: amande qui repousse la lumière.
Ma peau se délassa une autre fois. De tant de lumière derrière mes yeux, provoquée de cette obscurité, de tant d’oiseaux derrière le toit, provoqué de mon emprisonnement et de tant contact, provoqué de ma solitude, je me senti obligée de trembler le bonheur.
Blouses blanches et manteaux nègres en manière de velours:
Ma liberté se déplia comme l’aveuglement autour de moi et s’enroula autour de la bobine de mon existence éclatante: j’étais òu j’étais et j’étais partout, parce que ma nuit ne sentit aucune limite. Elle baissa pavillon et rampa sous la porte pour s’augmenter. Moi, je voyais ça avec beaucoup d’intérêt. Sans cesse.
D’un coup le ciel sembla de s’être éclairci. Le soleil s’éscapa de son grand oeil invisible et se laissa tomber par des rainures.
Devant moi: une pluie criante et pleine des yeux. La nuit était entourée d’une clôture, dans laquelle l’humeur aqueuse du soleil goutta. Sans parasol et avec un parapluie, qui s’appuyait contre le mur, rejetant la farine de la poussière, jaillissante avec des vermines, auxquelles les araignées souhaitaient leur bienvenue. Ça, ça se passe toujours la première fois.
D’ailleurs: le toujours, c’est toujours la première fois quand il se passe.
La suite: La solitude et la liberté avaient accepté le visage de la première fois. Il me ria au nez. Le visage de la première fois. Ça, c’était la première fois que c’était toujours la première fois. Tous les jours s’approprient de tous les visages avec lesquelles ils te regardent comme de première vue.
Routes neuves, fleurs fraîches, amandes, noyaux amères.
Les arbres, là, au dehors, se répètent de la même manière en absorbant l’obscurité, l’encombrant dans leurs visages, qui, aussi, sont toujours faites de première vue. Du reste, ils la conservent. Chaque arbre, petit trou noir d’à peu près trois mètres carrés, retrouve la solitude en lui offrant ses limites. J’adore leurs augmentations.
Blouses bleues et manteaux blancs en manière de plâtre:
Le plâtre déserta les mûrs et sauta aux manteaux qui dansaient dans l’aveuglement de mes yeux. Grace à la pluie des yeux solaires, qui se dispersaient devant moi, je reçevais un autre oeil, ou peut-être deux et je les pris dans mes mains: les blouse-tabliers blanches, les tablier-blouses noires de mes parents.
Finalment j’arrivais au concret:
Au dehors de la porte fermé, la mère belle, la blanche, elle était révoltante et crialliait sa force au vent, déséspérée d’une volonté sans limite et en prison:
Elle était obsessionnée d’ouvrir les portes qu’elle avait joui de fermer.
Mais moi, j’aime des protes fermées, entourées d’espaces qui s’augmentent sans cesse et dans toutes les directions sans limites. Jamais je sortirai de cette solitude solaire dans laquelle la nuit me sauve.
Je n’ai pas besoin de plus d’à peu près trois mètres carrés et jamais je ne vais sortir.
Tout brille, tout est fleur, mousse et très léger. Il ne faut plus rien faire qu’on ne voit pas en fleur. La mère belle et la blanche se répètent chaque jour et toujours, c’est la première fois que tout est en fleur.
Il y a deux menaces qui restent: sortir de sa liberté solaire, extrader l’obscurité, le pour-la-première-fois, en la remettant aux mains des vigilants et s’en aller avec des mains qui soient capables de voir chaque première fois.
Toujours:
Elle, la mère belle et blanche, s’enroulant dans ses cheveux, arrondie par des vagues de sa force et menacée par le démon de l’enfance. Non, elle ne le sait pas. Elle ne sait pas qu’elle ne cessera jamais de faire des cadeaux. Toujours, et sous les jours.
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